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 [Commentaire]Les flagellants selon Jean Le Bel

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glorendhel
Maitre de Guilde
glorendhel
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   Posté le 29-04-2005 à 19:52:43   Voir le profil de glorendhel (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à glorendhel   

Introduction

Ce document est extrait du Tome 1, Chap. 11 de l’œuvre de Jean Le Bel. L’auteur de cet ouvrage ; intitulé vulgairement « Chroniques » mais qu’il appela lui-même « Vraye hystoire du Roi Edwart », retrace en deux tomes et 109 chapitres certains évènements de la guerre de 100ans, entre 1272 date de l’évènement d’Edouard d’Angleterre, et 1361. Son Œuvre fut à une époque absorbée par ses successeurs. En 1842, on croit en découvrir quelques fragments dans les « Chroniques de Flandre » de Froissart, son élève. En 1847, on découvre dans les « Myreurs des hystoirs » de Jean d’Outremeuse, la première partie des chroniques. Polain (1800-1881) à l’origine de ces découvertes, compile ces extraits en 1850. Kervyn de Lettenhove, cherchait lui aussi les chroniques de Le Bel. Il trouve un indice dans la « Bibliothèque historique de la France » de Jacques LeLong, mais s’engage dans une mauvaise piste. En 1861, Paul Meyer tombant lui aussi sur l’indice laissé, le transmet à Polain. Le manuscrit est alors retrouvé à Châlons sur Marne, et fait l’objet d’une première édition complète en 1863.
C’est ainsi que nous est parvenue l’œuvre de Jean Le Bel, chroniqueur liégeois, né vers 1290, dans une famille patricienne influente mais dont la puissance commençait à décliner. Dès 1313, les sources écrites (Paix d’Angleur du 14 février), nous apprennent qu’il participa activement à la vie publique et à l’administration de Liège. En 1327, il participe à la Campagne d’Ecosse (Contre Robert Bruce d’Ecosse), menée par Edward III (proclamé roi en 1326). En 1338, il devient chanoine de Saint Lambert, et en 1345 prévôts de Saint Jean en Liège. Il meurt dans sa ville de naissance en 1370.
Le chapitre 11 de son œuvre, et d’où est extrait notre document couvre les années 1344-1349. A ces dates le royaume de France traverse une crise née du problème de succession de Charles le Bel, mort en 1328. En effet, Edouard III d’Angleterre revendique le trône de France justifiant qu’il est le plus proche parent du défunt roi. Les juristes français, ressortent la loi salique, lui interdisant ainsi la succession au trône de France, par le biais d’une femme, sa mère, sœur de Charles le Bel. Philippe de Valois, plus proche parent de lignage exclusivement masculin acquiert d’abord la régence, puis enfin la Couronne. Edouard III reconnaît à contre cœur le souverain. La bourgeoisie de Flandre s’étant révolté contre le pouvoir Comtal de Louis de Nevers ; lance un appel à l’Angleterre, et devient le prétexte qu’Edouard attendait pour prendre enfin le titre de Roi de France, à Gand, le 23 janvier 1340. La guerre de 100 ans commence alors. Mais aux difficultés de la guerre et des famines, s’adjoint en 1347 un mal supplémentaire : La peste noire. Dans ce climat d’incertitude et de peur, ressurgit alors le mouvement Flagellants au sein des populations européennes, qui voient en l’épidémie, le châtiment de Dieu, et souhaitent expier leurs péchés.
Jean Le Bel, dans notre extrait nous raconte ce phénomène et nous apprend également de quelle manière ayant eue un grand succès, il tomba dans une dérive qui nécessita l’intervention de l’Eglise.
Il est donc intéressant d’étudier les conséquences (sociales) de cette épidémie et son influence sur les pratiques cultuelles des chrétiens au Moyen Age. Pour cela nous étudieront les causes et les conséquences sociale et morale de la peste, avant de se pencher sur l’ampleur du phénomène.

I. Mal et remède

A la fin de 1347, un fléau que l’Occident n’a plus connu depuis le VIe siècle fait sa réapparition : la peste. Du monde musulman à l’Europe occidentale, elle décime les populations

1°) Un mal qui ronge le monde

Ligne 1 l’auteur nous apprend qu’il circule une « commune et générale mortalité dans le monde entier, provenant d’une maladie qu’on appelle bosse ou épidémie ».
Est appelé Bosse à l’époque, la Peste venue d’Orient. En effet en 1346, le fléau succède dans les contrées lointaines de l'est de la Chine, en Tartarie, à une épouvantable famine et à de brusques convulsions du sol. Il envahit ensuite les Indes, la Turquie, l'Égypte, la Grèce, l'Illyrie, et le Nord de l'Afrique. Le 1er Novembre 1347, douze galères génoises infectées, qui avaient déjà fait quelques milliers de morts à Messine lors de leur dernière escale et qui s’étaient vu repoussées à Livourne et à Gêne accostent à Marseille.
Nous pouvons presque avec certitude dire qu’il sagit d’une peste dit bubonique puisque le terme de « Maladie des bosses » vient du fait que suite à la période d’incubation (1-2j.), surgissent les premiers signes cliniques : des bubons, sorte de ganglions de taille variable, et qui apparaissent le plus généralement à l’aine, aux aisselles, comme il est dit ligne 2 (« elle prenait les uns aux bras gauche, les autres à l’aine ») ou bien au cou. Par ailleur la précision apporté par Le Bel aux lignes 2-3 et où il nous dit « …et l’on en mourait dans les trois jours », vient renforcer cette théorie. En effet sans traitement, la mort survient dans les 3 à 5 jours qui suivent l'apparition des premiers symptômes suite à la formation de tumeurs infectieuses dans le foie, la rate, les poumons et les méninges.
Toute fois un détail qu’apporte Le Bel à la ligne 3, vient contester cette théorie. En effet il nous dit que « quand elle avait frappé dans une rue ou dans une maison, l’un la prenait de l’autre », expliquant ainsi que l’épidémie se transmettait par la voie des airs, et non par morsure, comme il est nécessaire pour la peste bubonique. Cette transmission par voie respiratoire de la peste, nous fait penser à sa version pulmonaire. En revanche bien que la durée de vie après incubation soit également de trois jours, si aucun soin n’est apporté ; aucun bubon ne survient sur les personnes contaminées. La confusion faites par Le Bel dans sa description, vient du fait que la peste de ces années là connue ces deux formes. En effet, lorsqu’elle débarqua à Marseille en Septembre 1347, le froid de l’hiver et l’humidité lui donne sa forme pneumonique. En décembre, elle touche Aix en Provence, en Janvier 1347, Avignon, au mois de Février elle atteint Montpellier, et Narbonne, en Mars Carcassonne et Perpignan. Et c’est en avril qu’elle prend sa forme bubonique, ayant infecté en sept mois la majeure partie du Sud de la France. En juin, elle trouve un port à Bordeaux est arrive sur les cotes Anglaises à la fin du mois. En Septembre elle débarque sur les rives du Lac Léman, et durant l’hiver 1348-1349 stoppe sa progression aux Sud des Voges. L’Allemagne est touchée au printemps suivant et la peste s’étend au Nord de L’Europe. Ainsi à la fin de l’année 1349 c’est tout le Monde Oriental, Méditerranéen et d’Europe qui est touché par la Peste.

2°) La crainte populaire.

Le caractère rapidement mortel de la maladie frappe les esprits. Un climat de peur et de craintes, renforcé par l’état de guerre, s’installe. Les gens fuient les pestiférés, craignant pour leur vie. Dans le même temps les médecins, reprenant les théories de Galens, qui les avaient lui-même repris d’Hippocrate ; préconisent eux aussi la fuite, vers des régions où l’air y est sein. Si cela est facile pour les plus riches, en revanche les plus pauvres sont contraint de rester. Mais il n’en demeurent pas moins que les populations essayent d’éviter les contacts avec les malades, comme nous le dit Le Bel à la ligne 4 « C’est pourquoi peu de gens osaient aider ou visiter les malades ». Cette peur, posa notamment quelques problèmes aux villes qui devaient assurer l’inhumation des morts, comme nous le dit Le Bel aux lignes 4-5 où il écrit : « à peine pouvait on se confesser car à peine trouvait on un prêtre qui le voulut faire ou quelqu’un pour oser habiller les malades ou toucher leurs draps. » Ainsi par exemple, à Florence en 1347, on comptait près de 600 morts par jour, et à Naples le cimetière étant saturé on en construit un autre, où furent enterré 11 000 corps en un mois et demi.
Ce qui frappe encore plus les esprits est que la maladie touche toutes les catégories sociales sans distinction. L’universalité des fléaux envoyés par Dieux en est l’explication logique pour les populations. En effet Le Bel nous dit aux lignes 6-7 « plusieurs pensaient qu’il sagissait d’un miracle et d’une vengeance de Dieu contre les péchés du monde ». En 1349, la Faculté de médecine de Paris consultée par le roi répond que l'origine première de l’épidémie qui sévit est due aux constellations célestes. La Sorbonne écrivit alors dans son rapport « Aristote et Albert le grand sont d’avis que les conjonctions des astres errants peuvent engendrer un air malsain. C’est pour cela que l’année à été chaude et humide ce qui dispose à la putridité de l’air » L’explication est donnée. Dieu utilise la conjonction des planètes pour régler la salubrité ou la pestilence de l’air, et infliger un châtiment aux hommes. Ainsi à la fuite dans l’espace s’adjoint également une fuite morale, et la recherche d’une protection spirituelle

3°) Un rachat par la pénitence et la dévotion

Les populations cherchent expier leurs péchés et l’on voit ressurgir le mouvement de flagellant comme nous le dit Le Bel aux lignes 7-8 où il écrit : « il arriva que certaine personnes commencèrent pénitence et variété de dévotion ». Le phénomène est déjà étendu au début de l’année 1349 aux régions de haute Allemagne, comme il est dit ligne 8, en Suisse, en Suède, le long du Rhin, et en Italie.
Les flagellants obéissent à des règles strictes, qui en font une véritable secte mystique. Recrutés par pèlerinage itinérant, ils s’engagent à suivre ces règles pendant 32 jours et demi de la même manière que le Christ resta sur terre durant 32 ans et demi, comme nous le rappel Le Bel aux lignes 16-17 : « ils disaient qu’il convenait d’aller ainsi durant trente deux jours et demi (…) en souvenir de Notre Seigneur qui passa trente deux ans et demi sur terre ». Un capuchon baissé sur les yeux, et une croix rouge sur la poitrine, les flagellants se déplacent, en procession de ville en ville. En tête ils portent des croix, des bannières, des drapeaux et des cierges allumés comme il est dit ligne 9 : « ils portaient des crucifix, des gonfanons et des grandes bannières de soie comme on le fait lors des processions. Ils avancent en rang deux par deux (l.10) en chantant des cantiques (l.11) entrecoupés de kyries, sorte d’exclamations ou supplications religieuses. A leur arrivée dans une nouvelle ville, ils se rendaient devant l’église ou la cathédrale, puis après quelques invocations à dieu pour demander pardon, ils se prosternaient au sol les bras étendus en croix. S’étant relevés, ils reprenaient ensuite par trois fois le solo chanté par leur chef.
Lebel nous apprend également à la ligne 11 qu’ils gagnaient ensuite « une place où il se dévêtaient jusqu’à leur linge (…) et se fouettaient de coups de lanières et d’aiguilles fichées en elle ». En effet, le rituel devant l’église terminé, les flagellants se rendaient alors sur une place publique ou sur le marché. Sur place ils formaient un cercle au milieu duquel ils déposaient les vêtements qui leur couvraient le haut du corps. Ils se jetaient ensuite sur le sol, se relevaient et commençait à se frapper, tout en chantant des cantiques, avec un fouet à trois lanières de cuir au bout desquelles étaient fixées des pointes en métal. Ils se prosternaient ensuite toujours les bras en croix et prononçaient cinq Pater et cinq Ave, comme il est écrit ligne 11 : « chantant à haute voix des cantiques à Dieu et à Notre Dame ». Il se mettaient ensuite à genoux, reprenaient les flagellations, puis se mettaient enfin debout et se flagellaient à nouveau. Le rituel avait lieu deux fois dans la journée matin et soir ; et une fois dans la nuit. Le jour suivant ils reprenaient la route vers une autre ville.


II. Dérives et sanction
Le mouvement flagellant pris de l’ampleur et devint rapidement un phénomène généralisé.

1°) Un effet de « mode »

Comme nous le dit Lebel à la ligne 18, « chacun courut les voir, frappé d’étonnement, s’adonner à leur affliction » en effet ces pratiques surprennent au départ, mais le coté pénitentiel, et l’espoir d’un retour à la normal impressionnent et attirent les foules. Ainsi par exemple lorsque les flagellants effectuèrent leur pénitence devant la cathédrale de Strasbourg, ils étaient deux cents. Lorsqu’ils quittèrent la ville pour reprendre leur procession, on en dénombrait 900 de plus. A Liège selon le texte à la ligne 21, le phénomène semble similaire puisque l’auteur nous dit : « certains habitants de Liège apprirent leurs manières, traduisirent leur cantiques et rejoignirent en grand nombre leur troupe ». Dans le même temps, il arrivait que les processions de flagellants soient si grandes, généraient quelques troubles. Ainsi par exemple lorsqu’en 1349, ils se rendent à Aix en Provence, ils furent si nombreux que l’empereur Charles IV du différer son couronnement.
Si le mouvement connu un succès c’est en partie du au contexte générale, aux difficultés nées de la guerre et des épidémies ; mais aussi parce qu’il est était accompagné d’une justification divine. Le Bel nous dit aux lignes 19-20, « il semblait à tous qu’ils fussent de saintes personnes et que Dieu les avait envoyés pour donner l’exemple au commun du peuple de faire ainsi pénitence en rémission des péchés ». En effet, à la fin de chaque séance de flagellation, le chef des flagellant lisait une lettre, envoyé par la Vierge marie, au moyen d’un Ange le 25 décembre 1348. Cette lettre, qui aurait été écrite à Jérusalem sur une plaque de marbre noir, expliquait que seul ceux qui faisaient pénitence échapperaient aux disettes et à la peste.

2°) De la pénitence aux « vices »

Mais de cette justification spirituelle et divine, s’accentua au point de devenir comme nous le dit Le Bel à la ligne 27 « orgueil et suffisance ».
Ligne 15, l’auteur nous apprend qu’ « ils allaient prendre hôtel, hébergés gratuitement là où on les invitait ». Ce qui était l’occasion pour eux de recruter de nouveaux adeptes, mais aussi faire quelques sermons. Par la suite les flagellant prétendirent faire des miracles tel de saintes personnes, comme il est dit ligne 20. A Strasbourg, en leur présence l’image de Notre-dame de Strasbourg aurait sué, ainsi que le Christ Crucifié, à Offenbourg. Par ailleurs d’autres rendirent la parole à un muet à Erstein. Ces miracles s’étendirent également à l’exorcisme.
Par la suite le phénomène prie tellement d’ampleur que son caractère itinérant s’effaça pour une sédentarisation du mouvement, tel que nous le dit à la ligne Le Bel, aux lignes 24-25 « La mode se développa tellement que toutes les bonnes villes étaient remplies de ces gens qui s’appelaient flagelleurs et confrères ». Se réunissant en confrérie, leurs objectifs s’en voyaient modifiés. Si la flagellation était toujours pratiquée, s’y adjoignaient un devoir d’entraide comme il est dit ligne 26. Ainsi si ce mouvement dévotionnel était à l’origine, un acte individuel il devient en se sédentarisant collectif. Les flagellants prennent alors une forme structurée, et hiérarchisée, et font de Tournai leur centre.
Enfin, on remarque que l’auteur tait une des dérives des flagellants. En effet, depuis l’arrivée de la Peste en Europe, le juif était tenu pour responsable, considéré par les populations comme un empoisonneur de source et de puits. De nombreuses violences leur furent faite. Ainsi par exemple dans la nuit du 13 au 14 avril 1348, à Toulon, 40 juifs sont massacrés et leurs maisons pillées et brûlées. A Strasbourg, d'après un contemporain, 16 000 juifs furent exécutés pendant ces temps troublés. Le 6 Juillet 1348 Clément VI lance une bulle en faveur des juifs qui ne résout rien devant les exactions de certains flagellants qui s’appellent eux même « Tueur de juifs ».

3°) La condamnation de l’église.

Ces dérives, ces accaparations de prérogatives ecclésiastiques par les laïcs, cette volonté d’unité et les exactions, pousse Avignon à réagir devant la montée croissante du phénomène. Le bel nous dit à la ligne 28 « Ils commençaient déjà à perturber le service et les offices de la Sainte Eglise ». Le 19 octobre 1349, Cléments VI réagit. Sans toutefois contester leur existence, il condamne leur exés, et le caractère secret de certains de leurs engagement, dans une lettre qu’il adresse à l’archevêque de Magdebourg où il écrit : « c’est une religion vaine et une invention superstitieuse qui méprise le pouvoir des clefs et la discipline ecclésiastique ». Dans le même temps, comme nous le dit Le bel à la ligne 27 par une condamnation du 5 décembre 1349 le Pape demande aux rois de France et de Grande Bretagne d’agir. Ainsi écrit il : « déjà les flagellants sous prétexte de piété ont fait couler le sang des juifs que la charité chrétienne doit préserver et protéger... on peut craindre que par leur hardiesse et impudence, un grave degré de perversion ne soit atteint si des mesures sévères ne sont pas prises immédiatement pour les supprimer" ». Les pouvoirs temporels réagissent et le mouvement perd de son intensité.



Ainsi pour conclure, nous pouvons rappeler que 1347 marque l'arrivée de la Grande Peste, 1349 celle du paroxysme de l'épidémie. Mal soignée, elle trouve un terrain favorable à son évolution, et sa progression en Europe : Famine, hivers rigoureux, chaleurs excessives, déplacements des armées, entassement des populations du fait de la guerre. Outre la mortalité effrayante, ces épidémies eurent une influence énorme sur la société, et sur les moeurs. Car au premier rang des réactions psychologiques provoqués par l'irruption de la peste, il faut noter, la peur, la frayeur, la terreur, allant jusqu'à l'affolement, et jusqu'à l'extinction de toute lueur de bon sens. L’Eglise tente de calmer les ardeurs, aidée par les princes. Mais au sein de l’opinion publique des chrétiens, cette épidémie, et ces guerres, ne sont que châtiments de Dieux, face au dérèglement moral de la Société. Dérèglement qui se confirme en 1378 avec le Grand schisme qui divise la chrétienté
mohmoh75
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   Posté le 30-03-2012 à 17:32:05   Voir le profil de mohmoh75 (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à mohmoh75   

Bonjour,

Peut-on avoir votre bibliographie?
Merci
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